Le frère Marie-Victorin débarque sur l'île d'Anticosti dès les années 1920. Au-delà de son écriture scientifique, décrivant la flore de cette région, Anticosti permet à Marie-Victorin d'exprimer son style littéraire très poétique dans «Croquis laurentiens» et «Flore de l'Anticosti-Minganie».
Le relecture de son journal des travaux sur le terrain, par Gérard Poirier, dévoile cette dimension peu connue du personnage qui déplorait « de n'être pas artiste ».
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